Bonjour à tous!

J’espère que vous allez bien! Aujourd’hui, j’ouvre une nouvelle rubrique que je vais appeler « J’ai lu« . Bon, on ne s’emballe pas, je ne suis pas une grande lectrice, donc vous n’aurez pas un article de ce genre toutes les semaines!

Quand on m’a soumis l’idée de lire LE LIVRE DES BALTIMORE, ça ne m’a pas du tout emballée car je ne sais pas pourquoi, j’ai cru que ça se passait dans un temps ancien, style époque coloniale aux Etats-Unis. Que nenni! L’histoire est contemporaine. Je préfère quand ça se passe à notre époque car ce que je recherche dans un livre, c’est pouvoir m’identifier. Aux travers des personnages de ce livre, j’ai non seulement voyagé dans de merveilleuses villes des Etats-Unis mais également vécu les joies et les tristesses d’une famille extraordinaire.

C’est l’histoire d’une famille, LES GOLDMAN. Il y a les GOLDMAN-DE-MONTCLAIR et les GOLDMAN-DE-BALTIMORE. Les MONTCLAIR sont de classe moyenne, alors que les BALTIMORE sont riches, très riches. Marcus GOLDMAN, le narrateur, est un Montclair. Il adule les BALTIMORE, son oncle Saul, sa tante Anita et ses deux cousins adorés.

Ils passent leurs vacances ensemble, dans leur maison des Hamptons, ou à Miami, chez les grands-parents.  Ils font les 400 coups ensemble. Ils aiment la même fille, ont les mêmes copains, les mêmes passions,  partage les mêmes rêves.
Les années passent mais ne se ressemblent plus. Au fil du temps, l’adolescence les éloigne, leurs centres d’intérêts ne sont plus les mêmes.
Marcus qui vit à Montclair, se sent de plus en plus écarté de son clan à tel point qu’il n’a pas vu venir la fin des GOLDMAN. Sans qu’on ne s’en rende compte, cette famille si bienveillante et heureuse sombre petit à petit dans les ténèbres, jusqu’au Drame.

Le Drame, c’est cet évenement qui mis un terme définitif à toutes ces années de bonheur et d’insouciance.

Cette tragédie va vous tenir en haleine tout au long du récit de la vie extraordinaire des GOLDMAN que vous vivrez au travers des yeux de Marcus.
J’ai été captivée par l’histoire. Je me voyais en vacances en Bretagne avec mes cousins quand j’étais petite (bon là c’est dans les Hamptons mais bon, même combat), à faire les 400 coups.
Tous les lieux décris dans ce livre sont charmants et on s’y projette aisément. Vous rêvez au fil des chapitres mais vous savez pertinemment que tout ce bonheur n’est qu’éphémère et qu’un jour tout va s’effondrer.
C’est une descente aux enfers qui s’établie de manière tellement insidieuse qu’on ne s’en rend pas compte. Chaque élément de la vie des GOLDMAN est comme l’effet papillon et leur reviendra en pleine figure, même des années plus tard, jusqu’au Drame. On s’attache à cette famille, on l’aime, on l’envie, mais on sait qu’un jour, tout ce bonheur leur sera retiré. 

L’écriture du livre est facile d’accès, on boit les paroles de l’auteur. D’ailleurs l’auteur, parlons-en. Il s’agit de Joël Dicker, jeune Suisse de 32 ans. Il est également de l’auteur de LA VERITE SUR L’AFFAIRE HARRY QUEBERT que je m’apprête à lire.

Je vous laisse apprécier son style d’écriture avec les quelques lignes ci-dessous.

Et vous, vous l’avez lu? Vous compter le lire? En tout cas moi, je vous le conseil. Et dans mon entourage, je ne connais personne qui n’ai apprécié ce livre. Toutefois, ces mêmes personnes me disent que LA VERITE SUR L’AFFAIRE HARRY QUEBERT est encore mieux. J’ai hâte de commencer! 

Je vous fais des gros bisous à vous dis à très vite!

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